Parce que on c'est jamais sur quoi on va tombé - Bill K -

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Parce que on c'est jamais sur quoi on va tombé - Bill K - 304276pschtHana

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Elora June Maclean jeune femme inconnus du grand publique mais qui était pourtant l’un des piliers des plus grand groupe de rock de la décennie. Manager pour le groupe tokio hotel, elle avait quitté Los Angeles voila quelques jours pour rentrer en Allemagne afin de s’avancer dans le travaille. Bien qu’exceptionnellement en vacances les garçons du groupe rester néanmoins très informée sur ce qu’il se passer du coter prévision. Le train en partance de Berlin venait d’entrez dans la petite gare de Magdebourg ou elle devait passer quelques temps a la campagne. Elle quitta la classe affaire, lunette noir au bout du net et son sac chanel sur l’épaule. Elle quitta le S-bahn {RER Allemand} pour atterrir sur le quai de la gare. C’était une gare plutôt petite mais vraiment très jolie qui changeait beaucoup de celle qu’elle côtoyée habituellement. – Hambourg & Berlin - Alors qu’elle se diriger vers les kiosques a journaux afin d’acheter le dernier « VOGUE » et un magasin de voiture pour ses petit protégée. Elle s’arrêta pour payer ses achat et y ajouta quelques friandises qui lui ferrait passer le temps. C’était la première fois qu’elle venait dans un coin aussi pommé de l’Allemagne, et elle espérer que les jumeaux auraient la décence de lui amener quelqu’un pour la conduire jusqu'à chez eux. Au moment ou elle voulut quitter le magasin deux main parfaitement manucuré vinrent se poser sur ses yeux, et elle sursauta alors qu’un souffle chaud lui parcourez le cou la fessant frissonné.

Kaulitz au rapport !

Le vent sifflait, s’engouffrant partout où l’espace le lui permettait. C’était bien dommage, pour une fois qu’il ne faisait pas tellement froid, et même plutôt lumineux, en ses derniers mois d’hivers, mais il n‘y avait guère de quoi se cloîtrer chez sois. Pourtant, ce jour là, Bill se demandait pourquoi il n’avait tout simplement pas décidé de rester chez lui. Après tout, il était en pause, en jour de congé total, aucun devoir de star international en vue, il pouvait bien se permette cette fainéantise !

La journée n‘avait pas particulièrement bien commencé, se disait-il. Tout d‘abord, il s’était réveillé bien trop tôt à son goût, c’est-à-dire, à presque neuf heure du matin. Impossible de refermer l’œil ! Il avait finit par abandonner et s’était levé en grognant - Bill n’était pas vraiment quelqu’un du matin. - tentant d’abord de s’installer devant la télévision, avant de se rendre compte qu’il n’y passait rien d’intéressant. Puis, il s’était dirigé vers la cuisine et parmi les armoires, pourtant assez remplies, n’avait rien trouvé à son goût en guise de petit déjeuné, au point de bouder ce repas. Pour se motiver, il avait allumer sa chaîne hi-fi, à un volume qui oubliait la présence de son frère jumeaux, qui avait eu vite fait de le rejoindre fort mécontent d’avoir été ainsi tiré de ses rêves. Après une petite engueulade typiquement fraternel, entre la fatigue et la mauvaise humeur du matin, Tom avait tout de même, contrairement à Bill, finit par retrouver le lit qui lui manquait déjà. Ce qui laissait le temps à Bill de prendre sa douche jusqu’à pénurie d’eau chaude.
C’est là que lui était venu l’idée de sortir. Il s’était rappelé de l’arrivée d’Elora, la manager du groupe, et contrairement à tout attentes, avait songé aller la trouver lui-même à la gare. Il s’était coiffé, habillé et légèrement maquillé, juste assez que pour ne pas attirer toute l’attention tout en évitant la sensation désagréable qu’il ressentait lorsqu’il se promenait visage nu, avait ouvert la porte en enfilant une veste et en enroulant une écharpe autour de son cou, et était sortit en prenant bien garde de fermer correctement la porte derrière lui.

Cheveux décoiffés, au courant de l’heure exacte à la quelle il pourrait voir Elora débarquer, il progressait à son aise dans les rues menant à la gare. Presque arrivé à destination, il s’arrêta un instant, face à un mur, pour allumer une cigarette à l’abris du vent. Se bataillant avec son briquet, il finit par réussir à l’allumer et tira, la tête un peut dans les nuages.
Il la vit arriver, la jeune femme attendue, quelques taffes plus tard, à travers la fumée qu‘il recrachait. Comme elle se dirigeait vers les kiosques sans le voir, il pris le temps de terminer sa cigarette et d’écraser son mégot avant de le jeter et de la rejoindre.

A quelques mètres d’Elora et tout content de l’apparente discrétion dont il faisait preuve, il s’approcha encore a pas de loup, alors qu’elle allait quitter le magasin, jusqu’à ce qu’il puisse poser ses mains devant les yeux de la jeune femme, de façon à l’empêcher de voir. Il eu un sourire taquin en la sentant sursauter.

- Qui c’est ? demanda puérilement Bill.

Sa voix était reconnaissable, il y avait peut de chance que la brune ne le reconnaisse pas, mais pas de chances pour elle, ses mains devaient être froides, en plus de sentir la cigarette fraîchement fumée.

- Quelle plaisir de te voir ici ! continua-t-il sur un ton exagérément enjoué, et sans pour autant retirer ses mains de devant ses yeux.

Il n’y avait dans cette exagération aucune ironie, rien que de l'espièglerie. Cet élan de joie contraire à la mine ronchon du chanteur le matin même était propre au jeune Kaulitz.

[Hors Rpg : Merci à toi d‘être indulgente, j‘ai eu du mal à retrouver le personnage. Maiiis maintenant je suis lancé, je prendrais plus autant de temps à répondre. Et faire mieux.]

Spoiler:

La douce voix fluette mais aux connotations bien masculine de l’androgyne se fit entendre, elle ferma les yeux laissant cette sensation s’emparer d’elle. Voila déjà presque deux ans qu’elle travailler pour eux, mais elle n’arrivée toujours à s’habituer a l’effet que lui fessait les jumeaux. Ils étaient tout les deux charismatique et mystérieux qui attirée tant par le regard que par le besoin de leurs présence. Elle en était venue à penser parfois qu’ils étaient une sorte de drogue. Bien sûr les deux autres membres du groupe lui fessait aussi un effet qui leur était propre, George le grand frère deconneur et Gustav le confident philosophique. Mais pour les jumeaux c’était autre chose, un feeling différent. Elle posa délicatement ses main sur les sienne en abaissant leurs mains jointe tout en se retournant avec un grand sourire.

« C’est mon petit Macky » fit elle enjoué en lui pinçant gentiment le nez.

Elle passa ensuite ses bras autour de son cou et le serra contre elle. Elle huma délicatement le parfum masculin du jeune homme puis releva le visage vers celui-ci. Plantant sont regard azure dans celui noisette du jeune homme, elle s’y perdit un instant. Elle hocha la tête à sa phrase arborant un léger sourire en coin. Oui ce n’était pas réellement prévu qu’elle vienne voir les Kaulitz. Bien sûr elle l’es avait prévenu qu’elle serait dans le coin mais sans pour autant leur spécifier qu’elle voulait les voir. Elle s’éloigna de quelques pas et le regarda de haut en bas, Bill restait bill quelque soit la situation. Pourtant il était très différent en off et lorsqu’il travailler, il avait cet air plus détendu et plus simple et accessible quand temps normal. Non que leur relation n’était pas bonne seulement, elle se limité dans la plupart des cas au coté professionnelle par peur que leur relation dévie et qu’il se retrouve bloquer.

« Dis donc Bill Kaulitz qui vient me chercher en personne ! Qu’es que tu as-tu es malade ? Ou ton lit c’est effondrée » dit-elle de façon taquine.

Oui elle se demander ce qui pouvait bien l’avoir sortie du lit. Aucun des membres du groupe et du staff ne fessait de grande déclaration sentimental, bien que tout le monde savaient qu’il y avait une forte amitié entre toute l’équipe. Elle aurait plus pensé au faite que Tobias viennent la chercher mais non. Elle était d’autant plus heureuse que ce soit bill. Elle se souvient enfin de l’achat qu’elle avait effectué quelques minutes auparavant. Elle releva le regard vers lui en agitant devant ses yeux le dernier « VOGUE ».

« Tien chouchou j’ai pensé que sa te ferrait plaisir »

Elle finit par prendre ses valise et de pousser gentiment le jeune homme vers la sortie, en lui pinçant de temps a autres les cotes. A partir de cet instant les vacances pouvait commençait, elle n’était plus leur attacher de presse mais seulement leurs ami.

« Alors que fait t’on capitaine ? Ou m’emmènes-tu ? Sauf si tu t’attends à ce que je te kidnappe si tu as encore fait une boulette avec kaulitz deuxième du nom ? » Finit elle en riant

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Les mains d’Elora procurèrent un peut de chaleur à celles de Bill lorsqu‘elles s’y posèrent, juste avant qu‘elle lui ne lui fit face avec un large sourire.

- C’est mon petit Macky, avait elle dit, pour l’enlacer après lui avoir pincé le nez, pincement au quel le chanteur avait répondu par une légère grimace.

Ce dernier resserra tout de même l’étreinte au plus fort, appréciant le contacte physique. Comme elle avait planté son regard dans le sien, il l’observa avec attention et la laisser se retirer quelques longues secondes plus tard pour qu’elle puisse l’examiner dans son entièreté. Il en profita pour en faire de même, le cœur léger de cette présence tant appréciée.

- Dis donc, Bill Kaulitz qui vient me chercher en personne ! s’était elle exclamée. Qu’est-ce que tu as, tu es malade ? Ou ton lit s’est effondré ?

Le garçon rit silencieusement. Ces taquineries ne l’étonnait pas vraiment. Mais voyant qu’elle s’interrogeait vraiment à ce sujet, ce qui était, au fond, assez compréhensible, il prit quand même la peine de répondre avec plus au moins de sérieux.

- Pour être franc, j’ai hésité à venir ! déclara Bill sans détoure. Mais je me suis dis que je pourrais bien faire ça pour notre manager préférée !

Un éternelle sourire au lèvre, il n’ajouta pas qu’il avait faillit ne plus y penser et que, si il était arrivé a retrouver le sommeil, il serait certainement encore entrain de dormir. A quoi cela aurait il servit ? Même après avoir bravé le vent froid, surtout du point de vue d’un frileux, il se disait qu’il ne regrettait pas de s’être bougé.
Mais alors, Elora agita quelque chose devant son regard.

- Tiens, Chouchou, j’ai pensé que ça te ferrait plaisir, dit elle.

Bill cligna des yeux et saisis l’objet. Voyant la couverture du magasine qu’il tenait a présent entre ses mains, il laissa s’échapper un petit cris relativement discret mais rauque, ce qui dévoilait chez lui un certain enthousiasme.

- Bien pensé ! Mercii Elora ! la remercia-t-il sincèrement.

Il tint fermement le cadeau en mains après l’avoir zyeuté, se disant qu’il le ferait avec plus d’attention plus tard.
La brunette le poussa alors vers l‘extérieur du magasin, à coup de pincette qui fit légèrement sursauter l’androgyne. Une fois franchis la sortie, elle l’interrogea.

- Alors, que fait on capitaine ? demanda-t-elle valises en mains. Où m’emmènes-tu ? Sauf si tu t’attends à ce que je te kidnappe, si tu as encore fait une boulette avec Kaulitz deuxième du nom ?

Elle rit et Bill, lui, se rappela de la scène qui s‘était produite entre lui et Tom quelques heures plus tôt. Non, cette fois, il n’y avait pas eu de franche dispute.
Cependant …

- Une boulette, pas vraiment, mais je ne suis même pas sur qu’il soit réveillé, réfléchit il. Et, le connaissant, il va encore tirer la gueule au réveil. Par contre, tu veux manger quelque chose, peut être, non ?

Lui, commençait à avoir vraiment faim. Pas étonnant quand on savait que ses caprices lui avait fait sauter le petit déjeuné !
Sans vraiment attendre de réponse, il tenta d’avancer de quelques pas, significatifs de son avis personnelles sur la question.

- Et puis … Je ne sais pas si tu as envie de quelques choses de particulier, de toute façon, si tu n’as pas faim, moi, j’irais quand même m’acheter au moins un croissant.

Il s’agissait peut être plus d’une réflexion personnel que d’une véritable déclaration mais en tout cas, il fixait Elora du regard.

- J’ai pas mangé et j’ai faim ! se justifia-t-il bêtement, la mine plaintive, comme si on pouvait ne pas l’avoir compris.

C'était beaucoup se répéter mais qui connaissait Bill Kaulitz savait que, quand il avait faim, ça ne plaisantait plus, et on pouvait envoyé au diable les préjugés se formant autour de sa corpulence carrément maigre.

- Pour être franc, j’ai hésité à venir ! avait-il dit.

A vrai dire elle s’en douter quelque peu, après l’avoir connus en tournée et pour savoir que tant lui que son frère était de gros flemmard quand il le voulait. Elle émit un léger rire avant de lui répondre
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« Je suis vexer je penser quand même que tu m’aimais plus que ton lit » elle essayer tant bien que mal de garder un air sérieux. Mais en croisant les pupilles chocolat du jeune homme, elle fit une legere grimace avant d’éclater de rire.

Elle se rendait compte qu’en passant du temps avec lui, sa personnalité déteignez nettement sur elle. Elle était plus relaxe quand elle était auprès de lui ou de son frère et il avait cette façon de tout rendre simple et presque futile. Elle le détailla du regard, elle son cœur ne fit que s’accélérer quand elle put lire la joie et l’éclat dans ses yeux après le futile cadeau qu’elle lui avait apporté. Ce n’était pas grand-chose, mais au delà des airs de diva du jeune Kaulitz, elle savait qu’au fond de lui c’était un jeune homme comme tout les autre peu être victime du syndrome de peter pan.

« J’aime te faire plaisir, mais j’ai oublié les croissants en effet » elle lui sourit malicieusement alors que celui-ci se plaignait.

Au même moment sont ventre émit un grondement sonore et ils éclatèrent tout les deux de rire avant que le jeune brun prennent les devants. Elle soupira en secouant la tête amusée. Depuis qu’elle travailler avec eux, elle n’avait jamais rencontré d’aussi gros mangeur qu’eux. Même sans rien faire de particulier il avait tout le temps faim, er le pire dans tout ça c’est que les jumeaux ne grossissait guère malgré tout ce qu’ils avalaient. Elle en était parfois jalouse car elle n’était pas comme eux. Elle finit par le suivre jusqu'à la boulangerie de la gare. Elle rejoignit le jeune homme en passant un bras autour de sa taille et en posant sa tête contre l’épaule de son ami. Elle regarda avec une légère moue les nombreuses pâtisseries qu’offrais la boulangerie, elle trouvait que c’était de la vraie torture tout ces délicieuses pâtisseries qui n’attendaient qu’à être manger
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« Alors que désire sa majesté le ventre sur patte ? » elle le regarda malicieusement en plongeant son regard dans le sien. Elle aimait le regarder. « Mhh je pencherais bien pour un croissant ou un pain au chocolat crème pâtissière t’en pense quoi Billu ? » Elle finit par se mettre sur la pointe des pieds et de lui chuchoter « Tu ma manqué Kaulitz » Elle déposa un léger baiser sur sa joue, avant de ce séparer du corps de l’androgyne pour s’avançait vers la caissière.

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